Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

31/10/2009

Victoria

Extrait de l'album Portraits de famille
podcast

Un exercice de style : bâtir un morceau avec seulement des instruments de percussion. Et voila un quintet pour xylo, métallo, marimba.. et batterie. Après l'exubérence de certains morceaux de Portraits de Famille, il s'agissait de se prouver que l'on pouvait faire simple  Le résultat - selon nous ! - est sympa, dynamique, avec quelques trouvailles... Un titre pétillant à l'instar de Victoria à laquelle est dédié ce titre.

25/10/2009

Tournez Manèges

extrait de l'album Une vie (2002)
podcast

Sur une pulsation à trois temps, une progression "rock" très prog...

 

24/10/2009

La Main Invisible


podcast

 

Un titre inspiré par la crise des subprimes... d'où un certaine violence !

Vous reconnaîtrez, par ordre d'entrée en scène, des textes d'Adam Smith, Karl Marx... et Barack Obama !

Nous avons eu abondamment recours au sampling : bruits de pièces au début du morceau, ambiance de marché, sons industriels, extraits de flashs d'information. L'objectif était d'illustrer de manière musicale la froideur et la frénésie de l'activité économique. La mélodie aux cordes de la dernière partie, qui semble émerger du chaos, ainsi que la citation finale d'Obama, sont supposées apporter une touche d'optimisme...

Daniel

Extrait de l'album Portraits de famille
podcast

Un morceau à la mémoire de notre ami Daniel dont le trou dans l'eau ne s'est jamais refermé. Une musique qui tente d'exprimer à la fois la nostalgie, l'amour, la joie et la douleur de la perte.

 

23/10/2009

Bluette et Guimauve

Extrait de l'album Une vie
podcast

Ce morceau ne fait intervenir que du piano et des cordes. Disons, que c'est une forme très libre de concerto pour piano même s'il n'obéit à aucune contrainte de structure. Le titre souligne l'intention de faire simple, un peu à la manière d'un Michael Nymann. Une ambiance nostalique se dégage de l'ensemble. Avec le recul, la fin - trop abrupte - laisse à désirer.